Bonjour, bonjour.
Bon, malgré que je sois une petite nouvelle, je viens polluer ce coin aussi avec une de mes fics et surement la seule que je posterais. pourquoi? Parce que c'est la seule qui soit en accord avec le règlement (je cite : "Il est absolument INTERDIT d'introduire du contenu pornographique sur ce forum de quelque manière que ce soit" )
bon ok j'arrête avec mon blabla et je met ma fic qui, je trouve, est nulle à souhait mais je vous laisse le mal.. euh bonheur de la lire


Elle était née un jour, le 15 juillet d’après sa carte d’identité. Elle était d’une famille modeste, très modeste. Ils vivaient dans les quartiers pauvres de la ville, sa fenêtre était à moins de deux mètres de celle du voisin et ils pouvaient sans problème se toucher la main par la fenêtre…

Ses parents ? Bien sur qu’elle en avait, ou plutôt en avait eu. Rien de bien joyeux ni de bien triste, la vie quoi. De tout ce dont elle se souvenait de son père c’est qu’il avait dans le corps autant d’alcool que de sang. Elle ne se remémorait que les moments où il les battait sa mère et elle avant d’aller s’écrouler dans son lit, totalement épuisé par ses cuites quotidiennes. Il était mort à ses cinq ans, bel anniversaire… A vrai dire elle s’en fichait, comme beaucoup d’autres choses par la suite. Ce décès prématuré renforça la solitude dans laquelle elle vivait. Sa mère enchainait les boulots pour pouvoir subvenir à leur besoin, quant à elle, elle apprenait à s’occuper d’elle-même. L’amour maternel ? Elle ne le connaissait même pas de loin, elle ne cherchait pas non plus à le connaître. Seul l’argent comptait pour elles, malgré son jeune âge, elle avait bien comprit le seul moyen de vivre était de payer. Et pour payer il fallait les sous qui allaient avec. Et ces billets, c’était sa mère qui les gagnaient pour elles deux. Alors elle ne se plaignait pas. Les années défilaient et elle restait fidèle à elle-même, aidant au mieux sa mère qui souffrait de ces quatre dernières années de surmenages. Mais à neuf ans que pouvait-elle faire ? Rien d’autre que le ménage et les devoirs. Par chance, Dame Nature lui avait offert une intelligence rare si bien que ses devoirs étaient vite finis et elle s’attelait aux travaux ménagers. Elle dînait régulièrement seule, sa mère rentrant souvent bien trop tard pour qu’elle ne la voit… Elle mangeait donc seule avec son lapin en peluche puis faisait la vaisselle et allait rêver sous le regard bienveillant de la Lune et ses compagnes les étoiles. Parfois, son voisin venait lui tenir compagnie. Donghae, un petit brun ; malicieux mais gentil. Il restait silencieux, ou bien ils échangeaient parfois quelques mots…

Ce doux calvaire dura cinq ans… Pendant les cinq années qui suivirent le décès de son père, sa mère se tua à la tache pour assurer leur avenir… Au final, elle rejoignit son époux au royaume de Dieu, la laissant seule dans leurs trois pièces délabrées… Par chance les parents de son voisin s’étaient prit d’affection pour elle et l’adoptèrent, lui évitant tout un réseau d’adoption sans fin. Après quelques papiers signés par diverses personnes, elle déménagea… pas bien loin, elle prît le peu d’affaires qu’elle avait et traversa la ruelle qui séparait les deux immeubles. Moralement indifférente au changement de lieu, elle grimpa les étages comme à son habitude. Arrivé dans l’appartement, elle fut installée dans la chambre d’amis qui servait de dépotoir. Peu lui importait le désordre, elle avait vécu dedans toute sa jeune vie.

Les années passèrent et comme tout le monde elle grandît. De petite fille elle passa à jeune fille et finit par être une jeune femme. Il en était de même pour Donghae qui passa de petit filou à un grand mec bien séduisant, toutes les filles tentaient de se l’arracher en vain… Mais ce qu’aucunes de ces poufiasses ne savaient, c’est qu’il était déjà prit. Et oui, son frère d’adoption était passé de simple ami à confident puis, tout aussi simplement, il était devenu son petit ami. Il avait prit des chemins différents mais ils se retrouvaient tout les soirs dans leur chambre dorénavant commune. Elle savait pour les filles qui tournaient autour de son aimé, mais elle ne disait rien… Non, elle ne se sentait pas jalouse d’elles. Elle était suffisamment heureuse de se savoir un temps soit peu aimé par ce beau brun.

Mais les beaux jours ne pouvaient pas durer éternellement, ce ne serait pas drôle. Leur relation pourtant discrète fut connut dans son université. Des tripotés de nanas commencèrent à lui parler, d’abord gentiment, tentant d’arracher une quelconque information à propos de la star montante. Ah oui, parce que Donghae s’était lancé dans une carrière de chanteur et dieu merci ca lui réussissait comme un gant. Enfin revenons à nos moutons. Elle était passée de fille adorée de toute à l’ennemie numéro une à éliminer. Son amour et sa discrétion avaient été catalogué comme un égoïsme pur et dur mais en même temps, à quoi ca leur servait de savoir ce qu’il mangeait et autre ? Elles pouvaient tout aussi bien le lui demandé en personne. Elle était dorénavant utilisée comme défouloir, ses affaires régulièrement saccagées lorsqu’elle avait le dos tourné. Un groupe de filles avaient même voulu lui casser la main une fois, par chance l’arrivée d’un prof les avaient stoppé net dans leur élan.
Une ambiance des plus insupportables la majeur partie de la journée. Elle aurait volontiers abandonné dix fois déjà si son aimé ne l’avait pas réconfortée, rassurée… A chaque qu’elle voyait son beau sourire, tout ses ennuis s’envolaient et elle pouvait passer une soirée tranquille.
Par chance, l’été arriva bien vite et avec, un voyage offert par le brun, le seul qui trouvait un besoin de lui fêter son anniversaire. Ils partirent donc pour la campagne. Oh rien de bien impressionnant à la base, juste quitté l’atmosphère étouffante de la ville pour une semaine, rien qu’une petite semaine. Elle qui adorait dessiner les paysages et son aimé, la voila servie… Ils passèrent leur semaine en parfaits amoureux, se promenant ou dessinant enfin la belle vie quoi… Elle aurait aimé rester ainsi jusqu’au restant de ses jours mais les rêves comme les cauchemars avaient une fin et ils finirent par rendre les clés et prendre la voiture. Ils devaient rentrer chez eux maintenant, Donghae avait eu la chance d’avoir des vacances mais le boulot l’attendait. Elle, elle saurait attendre jusqu’à la prochaine fois. Elle avait apprit à encaisser les chocs, elle le supporterait autant qu’il le faudrait pour ces beaux yeux qui la fixait avec tendresse.

Du moins c’est ce qui avait été prévu, seulement Dame Nature en décida autrement et n’attendît pas la fin de leur trajet pour laisser éclater sa colère sur cette Terre, contre ces êtres qui osaient l’humilier, la blesser, la salir… Une simple mais violente tempête suffisait généralement pour remettre les choses en places. Les humains n’étaient que de viles créatures qui s’accrochaient à un espoir vain : non ils ne seraient jamais les maîtres du monde. Jamais ils ne pourraient soumettre les vents ni les mers…

La tempête se déclencha soudainement, les prenant au dépourvu et rapidement Donghae perdît le contrôle de la voiture qui, après de nombreux rouler boulés, se retrouva au milieu de la route toujours mais dans un état pitoyable. Pour sa part, elle ne savait pas comment elle s’était retrouvée dehors. Elle avait mal, elle ne parvenait même plus à bouger le petit doigt, c’était tout juste si elle entendait son aimé lui parlé, la prendre dans les bras. Tiens, pourquoi il était tout barbouillé de sang et de poussières ? Il avait encore fait le pitre ? Elle voulut parler... Pas un son ne sortit de sa gorge. Elle commençait à avoir froid, même le contact bouillant avec le brun ne suffisait pas à la réchauffer. Elle l’entendit hurler à l’aide… en vain, ils étaient au beau milieu de la campagne, qu’espérait-il trouver ? Il faudrait bien une demi-heure aux secours les plus proches pour arriver… Ils s’occuperaient alors de lui, il pourrait retourner sur scènes rapidement… pour sa part, c’était trop tard… La douleur s’estompait d’elle-même, ses yeux se fermaient de fatigues et dans un dernier sourire elle cessa de s’accrocher à la vie… Elle n’avait plus la force de le faire, malgré les cris déchirants de son aimé…

Il est trop beau, il n'y a rien d'autre à dire, à part Magnifique, génial et que j'adore.

Haaan merci ma Titiii

Super beau! J'ai adoré!


Ca m'a un peu fait penser à la vidéo qu'ils passent lors de leur concert: où on voit Donghae hurler alors qu'il tient une jeune femme dans ses bras, morte .... juste avant qu'ils ne chantent Storm ....

Si je ne me trompe pas elle s'est justement inspiré de cette vidéo pour l'OS :-p

beeen j'en saiiiis rien! Donc j'émets une idée! xD

:>_<:

HAaaaaaaaaaaaaaaaaaaHHH Chun-Hei je t'aiime !!
Je crois que t'ai la seule a avoir eu cette pensée

Merci pour moi qui t'avais dit la même chose quand je l'ai lu la première fois

Je suis une fanatique des vidéos durant leurs concerts. Elles sont toutes sublimes, mais alors celle-ci est particulièrement belle!

Ta fic colle super bien avec.

Han ma titi pleure pas, tu sais que je suis pire qu'un poisson rouge Mais oui je me souviens maintenant xD donc c'est Titi la first et Chun Hei la seconde

Pour ma part, ca dépend des vidéos... mais celle la avec le piano Juste envie de pleurer surtout avec DongHae qui crie ... Ahhhh je suis maso *prête le fouet à titi*

Pas grave Ma Manon, j'aime bien te taquiner ^^

Je sens que ça va donner le 29 octobre toutes les 3 :-p

chuuut Titi-sshi! Chhhut! :><:

HAN titi tu vas morfler le 29 *<*

Meuh pourquoi

J'ai rien fait moi

oui mais j'ai envie

Fait attention car moi aussi je vais être vilaine